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WikiLeaks:le site web qui a exposé USA

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WikiLeaks:le site web qui a exposé USA Empty WikiLeaks:le site web qui a exposé USA

Message par Admin Ven 24 Déc - 20:43

WikiLeaks est un site Web lanceur d'alerte, publiant des documents et des analyses politiques et sociétales. Sa raison d'être est de donner une audience aux fuites d'information, tout en protégeant ses sources.

En novembre 2010, le site affirme que : « [les] principes généraux sur lesquels notre travail s'appuie sont la protection de la liberté d'expression et de la diffusion par les médias, l'amélioration de notre histoire commune et le droit de chaque personne de créer l'histoire. Nous dérivons ces principes de la Déclaration universelle des droits de l'homme. En particulier, l'article 19[note 4] inspire le travail de nos journalistes et autres volontaires. »

Les réactions que suscite WikiLeaks sont contrastées. La plupart de ses publications déclenchent de violentes polémiques et des intimidations au plus haut niveau (cf. infra). Le site a également dû faire face à des problèmes techniques et financiers (cf. infra) qui menacent son existence même[4].

Cependant, son action trouve aussi des défenseurs, tels que : le Parti pirate suédois qui, à l'été 2010, a proposé d'héberger gracieusement WikiLeaks[5] ; Reporters sans frontières qui, en décembre 2010, a dénoncé la censure infligée à WikiLeaks[6], etc.

Depuis juillet 2010, les révélations de WikiLeaks sont relayées par de grands quotidiens nationaux, comme le New York Times, The Guardian, Le Monde, El Pais et Der Spiegel. Le filtrage par ces media permet de conférer aux révélations un style journalistique plus facile à appréhender et d'occulter d'éventuelles mentions dangereuses pour des particuliers.

Malgré son nom, WikiLeaks n'est plus un wiki.

Historique de la création du site
Dès le 4 octobre 2006, le nom de domaine wikileaks.org avait été enregistré par John Young, co-fondateur de Wikileaks et fondateur de cryptome.org, autre site qui dévoile également des documents confidentiels[8].

Le site web WikiLeaks a été créé en décembre 2006 par quelques personnes engagées[2], desquelles émerge ensuite un informel et évolutif Advisory Board[9],[10] de neuf personnes.

Dès 2007, environ 1,2 million de documents avaient été ajoutés à la base de données de WikiLeaks[11] grâce à une communauté d'internautes, composée de dissidents chinois, iraniens, des mathématiciens et des technologues d'entreprises Internet des États-Unis, de Taïwan, d’Europe, d’Australie et d’Afrique du Sud et de nombreux anonymes.

Les créateurs de WikiLeaks n'ont pas été formellement identifiés[12]. Le site a été principalement représenté depuis 2007 par Julian Assange. Assange se décrit comme un des membres de l'Advisory Board[13], comprenant : lui-même, Phillip Adams, Wang Dan, C. J. Hinke, Ben Laurie, Tashi Namgyal Khamsitsang, Xiao Qiang, Chico Whitaker et Wang Youcai.

Cependant, Khamsitsang et d'autres personnes citées par Assange, réfutent ou minimisent leur participation à ce comité consultatif[14]. À partir de 2010, cet Advisory Board n'est plus mis en avant sur le site officiel de WikiLeaks.

WikiLeaks est géré depuis octobre 2010 sous couvert d'une société de droit islandais Sunshine Press Production.

Des journalistes ont comparé cette entreprise avec celle de Daniel Ellsberg, qui divulgua en 1971 les pentagon papers[15].

Philosophie et fonctionnement
Finalité et objectif
Le site divulgue, de manière anonyme, non identifiable et sécurisée, des documents témoignant d'une réalité sociale et politique, voire militaire, qui nous serait cachée, afin d'assurer une transparence planétaire. Les documents sont ainsi soumis pour analyse, commentaires et enrichissements « à l’examen d’une communauté planétaire d’éditeurs, relecteurs et correcteurs wiki bien informés ».

Selon son fondateur, Julian Assange, l'objectif à long terme est que WikiLeaks devienne « l'organe de renseignements le plus puissant au monde ».

Fonctionnement
Malgré son nom, le site WikiLeaks ne fonctionne plus comme un wiki. À la fois ouvert et sécurisé, les lecteurs ne possédant pas les autorisations appropriées ne pouvaient pas modifier le contenu de WikiLeaks[7].

La sécurité du site est renforcée par l'emploi de technologies cryptographiques de pointe. À cette fin, des processus mathématiques et de chiffrement extrêmement sophistiqués doivent assurer le caractère privé, l’anonymat et l’impossibilité d’identification. Techniquement, WikiLeaks associe des versions remaniées de Freenet, de Tor ou de PGP à des logiciels de conception maison. WikiLeaks pense notamment ainsi être « étanche aux attaques politiques et légales » et, en ce sens, « impossible à censurer ».

Les contributeurs peuvent se connecter en mode normal ou en mode sécurisé. À la suite de la publication des révélations de télégrammes de la diplomatie américaine en novembre 2010, le système de boîte aux lettres destinée à recevoir les fuites bénévoles a été provisoirement suspendu, en vu d'en renforcer encore la sécurisation de l'anonymat pour les sources[note 5].

Les informations peuvent être soit diffusées directement par WikiLeaks, soit transmises de façon cryptée à des médias qui en font une analyse journalistique permettant de les diffuser au grand public sous une forme plus accessible.

Hébergements et notoriété
Les lieux d'hébergement des pages et du nom de domaine de WikiLeaks fluctuent au gré des pressions nationales ou internationales sur les hébergeurs.

Hébergement aux États-Unis et en Suède[modifier]
Avant l'affaire du Cablegate en novembre-décembre 2010 (cf. infra), WikiLeaks était hébergé aux États-Unis, sur les serveurs d'Amazon et en Suède.

A la suite du Cablegate, Amazon avait décidé de stopper l'hébergement de WikiLeaks (sous pression politique, selon Wikileaks), faisant ainsi acte de censure, puisque aucune décision de justice n'a prouvé l'illégalité du site.

A la même époque, EveryDNS, le prestataire DNS de Wikileaks, cessait d'héberger le nom de domaine wikileaks.org[note 7].

A partir du 15 décembre 2010, le nom de domaine wikileaks.org est de nouveau actif. Il serait hébergé aux Etats-Unis, chez Dynadot. Toutefois, l’url wikileaks.org redirige l'utilisateur vers l’extension « .info » du site WikiLeaks, soit : wikileaks.info. Or, la légitimité et la sécurité d'accès de cette adresse sont remises en question par The Spamhaus Project (en), nonobstant les dénégations formulées par le site visé. Ainsi, après qu’une page d’avertissement de Spamhouse (en) eut répandu des rumeurs – considérées comme calomnieuses – à l’encontre de wikileaks.info, le site électivement désigné par les allusions décide d’adresser une répartie – publiquement consultable sur le Web – à l’adresse des principaux intéressés[25]. Malgré une mise à jour de la page concernée, Spamhouse (en) demeure dubitatif, face à la légitimité, la souveraineté – voire la sécurité d'accès pour l'internaute – liées à l'url portant ladite extension « .info », telle que subordonnée à WikiLeaks, soit : wikileaks.info,. La position de Spamhouse (en) est cependant contredite par le diagnostic Google, lequel diagnostic décrète, d'une part, que « wikileaks.info ne semble pas avoir servi d'intermédiaire pour l'infection de sites Web » et, d'autre part, que « wikileaks.info n'a pas hébergé de programmes malveillants au cours des 90 derniers jours».

Hébergement en France
Le 28 novembre 2010, suite à la diffusion des télégrammes issus de la diplomatie américaine, les réactions internationales – hostiles au site – se sont multipliées et renforcées. À dessein de mieux préserver la pérennité du site, l'hébergement des pages est, depuis le 2 décembre 2010, en partie assuré par les responsables de WikiLeaks sur des serveurs loués à la société OVH, sise en France ; l'autre partie demeurant implantée en Suède

Hébergement en Suisse
Le 3 décembre 2010, A la suite du Cablegate, Amazon avait décidé de stopper l'hébergement de WikiLeaks, sous pression politique selon Wikileaks[30], faisant ainsi acte de censure puisqu'aucune décision de justice n'a prouvé l'illégalité du site.

Le site utilise désormais le nom de domaine wikileaks.ch[20],[29],[31],[32].

Tel était (en substance) le message succinct apparaissant, au matin du 3 décembre 2010, sur le nouveau site web de l'organisation, dont l’énoncé, en barre d’adresse url, porte, à ce jour, l'extension .ch[31], propre au territoire suisse[20].

Lors d’une interview télévisée, accordée à la RTS, en date du 4 novembre 2010, Julian Assange avait déjà évoqué l'hypothèse vraisemblable de solliciter l’asile politique en Suisse[33].

Hébergement miroir international
Le 4 décembre 2010, afin de pallier les failles précédentes, Wikileaks lance un appel aux volontaires, requérant l'hébergement de sites miroirs. Ainsi, dès le 5 décembre 2010, le site se retrouve rapidement hébergé sur plusieurs dizaines de serveurs, eux-mêmes reliés à diverses déclinaisons de noms de domaines pluriels[34].

Parmi les milliers de site miroirs apparus dans les semaines suivantes, on peut citer au moins deux quotidiens à audience nationale, Dagsavisen en Norvège et Libération en France, qui ont aussi fait le choix d'abriter un miroir de WikiLeaks sur leurs serveurs[35],[36]. La rédaction de Libération indique, en première page du quotidien, le 11 décembre 2010, vouloir « empêcher l'asphyxie du site WikiLeaks à l'heure où des gouvernements et des entreprises cherchent à bloquer son fonctionnement sans même une décision de justice. ».

Notoriété et essaimage
En phase de test, avant son développement grand public en 2007, le site était surtout actif dans sa version native anglophone ; à terme, il devrait comporter des versions en douze langues (dont le français).

En novembre 2007, WikiLeaks annonçait avoir déjà reçu 1,2 million de documents.

La notoriété de WikiLeaks s'est considérablement accrue, après la révélation du Cablegate, suivie des pressions internationales – exercées en représailles – sur le site. De plus, WikiLeaks connaît un succès notable auprès de la population mondiale avec, en décembre 2010, plus de 1 404 337 fans sur Facebook.

Depuis décembre 2010, de nombreux sites miroir ont été ouverts, afin d'échapper aux cyberattaques menées contre WikiLeaks ; en outre, divers sites d'essaimage voient le jour ; lesdits sites publient, au fil de l'eau :

les conséquences des affaires dévoilées via WikiLeaks,
les actions menées contre WikiLeaks,
les réactions de WikiLeaks.
Le principe même de WikiLeaks a fait école puisqu'un second site du même type doit voir le jour début 2011.Il s'agit de OpenLeaks.

Affaires médiatisées par le truchement de WikiLeaks[modifier]
Cette section est vide, pas assez détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! 2006[modifier]
Consignes d'assassinat en Somalie[modifier]
En décembre 2006, le cheikh Hassan Dahir Aweys aurait ordonné de faire assassiner des membres du gouvernement somalien par des hommes de main. Lorsque cette information fut diffusée, Wikileaks précisa que cela pouvait être une désinformation de la part des États-Unis[44].

2007
Corruption et détournements au Kenya
En août 2007, lors d'une élection, le candidat soutenu par l’ex-président Daniel Arap Moi, donné comme favori, a finalement perdu avec une différence de 10 % à la suite d'une fuite publiée par WikiLeaks dénonçant des détournements de fonds[45],[46]. Cette affaire a valu à Julian Assange le prix Amnesty International (New Media) en 2009.

2008
Banque suisse Julius Bär
En janvier 2008, WikiLeaks a publié des documents de la banque suisse Julius Bär, notamment les relevés bancaires d’environ 1 600 clients qui avaient un compte dans une filiale aux Îles Caïmans[47].
Accord commercial anti-contrefaçon[modifier]
En mai 2008, des documents de travail relatifs à la rédaction de l'Accord commercial anti-contrefaçon sont publiés par WikiLeaks, y braquant l'opinion publique.
2009
Affaire Dutroux
Le 17 avril 2009, WikiLeaks a dévoilé l'intégralité du procès de l'affaire Marc Dutroux, le pédophile belge, en particulier le résumé de ses auditions. Il s'agit des 1 235 pages de synthèse de l'enquête destinées au juge d'instruction, dossier toujours couvert par le secret d'instruction[48]. L'origine de la fuite serait le journaliste luxembourgeois Jean Nicolas, qui a couvert l'affaire et qui avait comme beaucoup de ses confrères accès à l'ensemble des documents[49].

Banque Kaupthing
Le 22 juillet 2009, peu de temps avant l'effondrement du système bancaire, Wikileaks a dévoilé des prêts de sommes anormalement élevées et des effacements de dettes, accordés par la banque Kaupthing au profit de particuliers privilégiés. Ces derniers ont été poursuivis et la législation nationale a évolué, visant à faire de l’Islande un « refuge » pour la liberté d’expression.

Climategate
Le 21 novembre 2009, WikiLeaks a dévoilé des fichiers contenant des courriers électroniques et des programmes provenant du Climatic Research Unit, utilisés par la suite pour accuser les climatologues concernés par les emails de manipulation et destruction de données et pour discréditer la thèse du réchauffement climatique anthropique dans son ensemble (voir Climategate) bien que des enquêtes indépendantes ultérieures aient clairement démenti ces accusations[50],[51].

Article principal : Incident des emails du Climatic Research Unit. 2010
Raid aérien du 12 juillet 2007 à Bagdad
Article détaillé : Raid aérien du 12 juillet 2007 à Bagdad.Le 5 avril 2010, WikiLeaks a publié une vidéo de l'armée américaine montrant deux photographes de Reuters, tués par un hélicoptère Apache, lors du raid aérien du 12 juillet 2007 à Bagdad[52],[53]. Cette publication marque le début de la célébrité mondiale du site Internet, jusqu'alors moins connu du grand public que ses propres fuites.

Afghan War Diary
Article détaillé : Afghan War Diary.Le 25 juillet 2010, en collaboration avec The Guardian, The New York Times et Der Spiegel, WikiLeaks[54] rend publics les War Logs, 91 000 documents militaires américains secrets sur la guerre en Afghanistan. Le porte-parole du site a affirmé que certains des documents pourraient permettre de prouver d'éventuels crimes de guerre[55]. Ces documents sont présentés comme témoignant notamment du double jeu qu'aurait joué le Pakistan, ainsi que des efforts pour dissimuler le nombre de victimes civiles[56].

Iraq War Logs
Le 23 octobre 2010, après avoir donné une avant première aux journaux Le Monde, The Guardian, The New York Times et Der Spiegel, aux télévisions Al Jazeera, SVT, Channel 4 et aux sites Bureau of Investigative Journalism, Iraq Body Count et OWNI[57], WikiLeaks a mis en ligne 391 832 documents secrets sur l'Irak, portant sur une période du 1er janvier 2004 au 31 décembre 2009, et révélant, notamment, que la guerre avait fait environ 110 000 morts pour cette période, dont 66 000 civils, et indiquant que les troupes américaines auraient livré plusieurs milliers d'Irakiens à des centres de détention pratiquant la torture[58].

Cablegate
Article détaillé : Révélations de télégrammes de la diplomatie américaine par WikiLeaks.Le 28 novembre 2010, WikiLeaks commence la révélation de télégrammes de la diplomatie américaine. Par cette opération baptisée « Cablegate » par les médias anglo-saxons, plus de 250 000 documents sont révélés. Leur publication est relayée par cinq grands journaux partenaires du site, dont Le Monde. Selon le New York Times, ces notes « offrent un panorama inédit des négociations d'arrière-salle telles que les pratiquent les ambassades à travers le monde ». Toutefois, de nombreux acteurs (gouvernements, institutions internationales) condamnent cet acte, notamment parce que « le fait d’ignorer les informations que contiennent les documents divulgués est dangereux »et que cela va « grandir le secret diplomatique ».

Liste secrète de sites sensiblesLe 6 décembre 2010, WikiLeaks a rendu publique une liste secrète de sites industriels et d'infrastructures sensibles, à travers le monde, que les États-Unis veulent protéger d'attaques terroristes, car leur perte, « affecterait de manière significative » la sécurité américaine. Cette liste datait de février 2009[63],[64].

Corruption et inefficacité économique en Algérie
Le 17 décembre 2010, WikiLeaks et El Païs diffusent des télégrammes des 19 décembre 2007, 25 janvier 2008 et 8 février 2010 issus des ambassadeurs Robert Ford et de David D. Pearce. Ces télégrammes dénoncent une Algérie fragile et malade de sa corruption aux plus hauts niveaux et d'une économie inefficace

Réactions et poursuites à l'encontre du site
Réactions internationales
Les différentes divulgations – essaimées par le site WikiLeaks – ont entraîné un certain nombre de réactions (majoritairement hostiles), émanant des États, organismes ou personnes concernées qui, pour tenter de justifier ou légitimer leurs positions condamnatoires, mettent généralement en exergue les notions éthiques de manipulation et/ou de mise en danger des personnes électivement citées ou impliquées dans le processus en cours.

À l'opposé, des associations de défense de la presse, de la liberté d'expression, de la transparence, ont généralement pris la défense de WikiLeaks, face à ce qu'ils considèrent comme relevant d’un acte délibéré de censure[6]. Le site et son porte-parole ont également bénéficié de l'Effet Streisand. La défense de WikiLeaks prend également une forme musicale et humoristique[66].

Enfin, des groupes d'influence ou de pression promeuvent leurs propres idées et desseins, par le biais d'analyses orientées ou d'informations d'une teneur erronée, illuminée, mensongère, ou simplement éloignée du sujet originellement concerné


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